Les fours solaires de Cerdagne

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Pour confirmer votre présence, ( Aliança Andorrano Francesa 82.91.91 – Ambassade de France 73.67.00 )

Le soleil est un énorme réacteur nucléaire où la fusion de noyaux d’hydrogène produit des noyaux d’hélium et de l’énergie. Une partie de cette énergie arrive jusqu’à nous, nous éclaire et nous réchauffe. Pour mieux utiliser cette énergie l’homme a développé divers procédés dont l’objectif est de transformer cette énergie en électricité ou en chaleur, à la stocker ou à la distribuer. On peut produire de l’électricité à l’aide de cellules photovoltaïques à base de silicium recueillant le rayonnement solaire direct mais leur rendement est encore faible, inférieur à 15%. La concentration du rayonnement à l’aide d’une optique et la recherche de nouveaux matériaux semi-conducteurs a ouvert de nouvelles perspectives qui sont encore du domaine de la recherche. Parmi les optiques de concentrateurs on trouve les fours solaires nés dit-on dans l’antiquité et développés en France en Cerdagne à partir des années 60. Les fours solaires permettent d’effectuer des traitements thermiques sous air ou sous atmosphère contrôlée à haute température (3200°C).
L’imagination créative des chercheurs a conduit à utiliser cette source de chaleur soit pour faire tourner des turbines et produire, en co-génération, électricité et chaleur soit à travailler la matière : fusion de matériaux, en particulier réfractaires, et élaboration de nouveaux matériaux, traitements thermiques de surface, simples « recuits » ou vaporisation de matériaux qui après condensation dans des réacteurs particuliers tel que l´ «héliotron», permettent de préparer des poudres ultrafines, forme particulière de ce que l’on appelle depuis 1994 les « nanomatériaux ».
Nous présenterons des exemples de nanomatériaux obtenus par voie solaire et des applications auxquelles ils conduisent dans des domaines aussi variés que les piles à combustible ou les marqueurs magnétiques en imagerie médicale, ces marqueurs pouvant d’ailleurs être utilisés pour détruire les cellules cancéreuses où elles se concentrent.

Claude Monty

« Où va la nuit » au « Cinemes illa CARLEMANY » – Jeudi 9 Juin 2011

Où va la nuit

ou va la nuitRéalisé par Martin Provost avec Yolande Moreau, Pierre Moure, Edith Scob, etc …

La soirée cinéma de l’Aliança Andorrano-Francesa au « Cinemes illa CARLEMANY » – Jeudi 9 Juin 2011

Synopsis : Parce qu’elle a été trop longtemps victime, Rose Mayer décide de prendre son destin en main et assassine son mari. Elle part alors à Bruxelles retrouver son fils, qui a fui l’enfer familial depuis des années. Mais la liberté apparente n’efface pas la culpabilité, et les histoires de famille ne peuvent se résoudre sans l’accord de l’autre.
Rose trouvera-t-elle sa place dans ce nouveau monde ?

Journée Internationale de la Francophonie – 20 mars 2011

CINEMA, 5 actrices pour 50 ans de cinéma français. ( Illa Carlemany 20h.30 )

  • Lundi 21 mars Ascenseur pour l’échafaud, 1957, de Louis Malle avec Jeanne Moreau.
  • Mardi 22 mars Pierrot le fou, 1965, de Jean-Luc Godard avec Anna Karina.
  • Jeudi 24 mars À nos amours, 1983, de Maurice Pialat avec Sandrine Bonnaire.
  • Vendredi 25 mars Le Hussard sur le toit, 1995, de J.P. Rappeneau avec Juliette Binoche.

CONFERENCE,

Mercredi 23 Mars 2011 Centre culturel « La Llacuna » 20h. – Sur les îles camusiennes de la Méditerranée par Hélène RUFAT

Création d’un timbre,

Ce timbre objet d’un concours réservé aux élèves de tous les âges des trois systèmes éducatifs, reflète l´image de la promotion de l´utilisation et de la connaissance la langue française dans le monde.

  • Le 18 mars : La Poste émettra le timbre gagnant du concours (tirage de 70.000 exemplaires).
  • Le 21 mars, à 18.30h : Remise des prix du concours au Centre Culturel La Llacuna.
  • Du 21 mars au 17 avril : Exposition du dessin gagnant et des autres travaux au Centre Culturel La Llacuna.

CONCERT,

  • Mardi 18 mars 2011, Institut Français du Portugal à Lisbonne – Concert du sénégalais Naby – Une collaboration Institut Français du Portugal / Ambassade de la Principauté d´Andorre.
  • Mars-avril 2011, Exposition des oeuvres de l’Art Camp à l’Ambassade de la principauté d’Andorre au Royaume d’Espagne et au Museu da Cidade à Lisbonne.
  • Fin juin 2011, Concert de Malagasy Gospel. (date et lieu à confirmer)
  • Juillet 2011, Ateliers de fabrication de fuseaux de lavande.

EMISSIONS RADIO

21 Mars – 22 Avril 2011 – Une série radiophonique réalisée par Sylvain Athiel

Co-produite et diffusée par Radio Nacional d’Andorra et Montaillou-Pyrénées.

Une collaboration Alliance Andorrano-française / Ambassade de France / Ministère des Affaires étrangères et des relations Institutionnelles – Govern d´Andorra

Réalisation et présentation : Sylvain Athiel – Voix : Anna Pifarré – Production : Viviane Besoli.

« Personne ne parle le francophone, ni n’écrit en francophone « , peut-on lire dans le Manifeste pour une littérature-monde signé par quarante écrivains de langue française en mars 2007. Il est vrai que la francophonie n’existe que par les pratiques langagières de chacun. Tous les acteurs de la vie éducative en Andorre participent à faire vivre cette francophonie.

Quel média autre que la radio pouvait prétendre à restituer cette parole vivante qui est celle de la francophonie?

Sylvain Athiel est donc parti à la rencontre de tous ceux qui font une place particulière à la langue française, dans les écoles andorranes, espagnoles et françaises, de l’école maternelle au lycée.

Chefs d’établissement, élèves, professeurs, parents l’élèves, tous ont pris le temps d’expliquer leur rapport à la langue et à la culture françaises dans leur vie professionnelle et parfois dans leur vie privée. Ce sont des témoignages saisis sur le vif et sur le terrain, des témoignages vrais et spontanés dont les différents accents font chanter la francophonie. Un beau complément à la parole officielle enregistrée l’année dernière, une belle illustration de cette « communauté mondiale » rêvée par Abdou Diouf (secrétaire géneral de l’OIF) « où la recherche de convergences, d’alliances, d’interactions entre les aires de civilisation l’emportera sur les volontés hégémoniques. Karine Marchand

Partenaires:

  • Govern d´Andorra – Ambassade de France en Andorre – Consell General – Alliance Andorrano-Française
  • Commission nationale andorrane pour l´UNESCO – AMOPA Andorre – Cinémas Illa Carlemany.

Le Feuillet de l’Aliança Andorrano-Francesa n°28 – Avril-Mai-Juin 2011

Nous vous prions de bien vouloir trouver en Pièces Jointes, Le Feuillet de l’Aliança n°28.

Liens intéressants,

Conférence, « Sur les îles camusiennes de la Méditerranée » par Hélène Rufat – Centre culturel de La Llacuna – mercredi 23 mars 2011 à 19h30

Comme des îles imaginaires, les différentes méditerranées camusiennes se répondent et se correspondent : on ne peut parler de l’une sans parler de l’autre (ou des autres).

En effet, il est aisé de constater que l’Algérie, l’Espagne, l’Italie et la Grèce apparaissent comme des pays aussi évocateurs et dynamiques les uns que les autres dans l’imaginaire camusien, et que –de plus– leurs caractéristiques méditerranéennes sont à la fois communes, échangeables… et complètement idéalisées.

En fait, ces espaces insulaires –parce qu’indépendants mais formant un archipel méditerranéen– sont d’abord présentés par Albert Camus comme des espaces habités par des « peuples heureux [qui] n’ont pas d’histoire », tel que le dit sentencieusement Roland Zagreus dans La Mort heureuse1 .

Il existe en fait une Méditerranée vécue, souvent idéalisée, avec des îles dont les délimitations correspondent plus ou moins à des espaces géographiques concrets et, d’autre part, une Méditerranée « rêvée » (voire pratiquement mythique) qui véhicule tous les idéaux camusiens.

Ceci dit, tous deux reposent sur un même paysage, et surtout sur des hommes et des femmes semblables. Ce sont eux qui, en dernière instance, transforment les espaces en îles, que ce soit par leur isolement ou par leur exil.

Hélène RUFAT.

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Les grands sites archéologiques en ligne

Vous voulez découvrir de manière interactive les grands sites archéologiques de France mais aussi des bords du Nil ou du Danube ?

Retrouvez sans tarder www.grands-sites-archéologiques.culture.fr proposé par le ministère de la culture et de la communication.

De la grotte de Lascaux à la ville de Saint-Denis au Moyen-Age en passant par les épaves corsaires à Saint-Malo ou les monuments de Ramsès II à Thèbes en Egypte, retrouvez, au total, 18 lieux de la préhistoire à l’époque moderne.

Avec des outils de lecture, des glossaires, des cartes et des frises chronologiques, vous pourrez accéder à de nombreuses ressources pédagogiques en rapport avec les programmes officiels d’histoire.
Vous aurez ainsi la possibilité de compléter vos connaissances grâce également à des textes clairs, des images, des animations vidéo en 3D et des visites interactives.

www.grands-sites-archéologiques.culture.fr