« Où va la nuit » au « Cinemes illa CARLEMANY » – Jeudi 9 Juin 2011

Où va la nuit

ou va la nuitRéalisé par Martin Provost avec Yolande Moreau, Pierre Moure, Edith Scob, etc …

La soirée cinéma de l’Aliança Andorrano-Francesa au « Cinemes illa CARLEMANY » – Jeudi 9 Juin 2011

Synopsis : Parce qu’elle a été trop longtemps victime, Rose Mayer décide de prendre son destin en main et assassine son mari. Elle part alors à Bruxelles retrouver son fils, qui a fui l’enfer familial depuis des années. Mais la liberté apparente n’efface pas la culpabilité, et les histoires de famille ne peuvent se résoudre sans l’accord de l’autre.
Rose trouvera-t-elle sa place dans ce nouveau monde ?

Les soirées de l’Aliança Andorrano-Francesa

Jeudi 14 Octobre 2010 Soirée Conférence

Une collaboration Fundació Crèdit Andorrà / Aliança Andorrano-Francesa

19h. Edifice Crèdit Centre – Andorre La Vieille
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Vieillir au XXI ième siècle , par Mr. Claude JEANDEL

Jeudi 21 Octobre 2010 Soirée Cinéma

21h.30 Théâtre communal d´Andorre la Vieille

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« Gainsbourg » – Jeudi 18 Mars 2010 à 21 h30

Les soirées de l’Alliance Andorrano – Française

Jeudi 18 Mars 2010 à 21h. 30

Théâtre Communal d’Andorre la Vieille
« Gainsbourg – Vie héroïque »

Gainsbourg (vie héroïque)

Genre : Biographie, musical , – Durée : 2h 10 – Pays : France – Date de sortie ; 20 Janvier 2010

Réalisé par Joann Sfar – Avec Doug Jones, Laetitia Casta, Lucy Gordon etc…

Gainsbourg entre vie et imaginaire

C’est l’histoire, drôle et fantastique, de Serge Gainsbourg et de sa fameuse gueule. Où un petit garçon juif fanfaronne dans un Paris occupé par les Allemands ; où un jeune poète timide laisse sa peinture et sa chambre sous les toits pour éblouir les cabarets transformistes des swinging sixties. C’est une « vie héroïque » où les créatures de son esprit prennent corps à l’écran et sa verve se marie aux amours scandaleuses. De la est née une oeuvre subversive, avec en vedette, un citoyen fidèle et insoumis qui fera vibrer la planète entière.

Collaboration : Comu d’Andorre la Vieille – Grands Magasins PYRENEES –

Ventes anticipées au Bureau National du Tourisme

« Les herbes folles » – Jeudi 21 Janvier 2010 à 21h. 30

Les soirées de l’Alliance Andorrano – Française

Jeudi 21 Janvier 2010 à 21h. 30

Théâtre Communal d’Andorre la Vieille
« Les herbes folles »

les herbes folles

Réalisé par Alain Resnais
Avec André Dussollier, Sabine Azéma, Emmanuelle Devos, etc…

La nouvelle folie d’Alain Resnais, 87 printemps, oeil vif et talent à revendre, arrive sur nos écrans. Les Herbes folles sont l’un de ses plus beaux films. Une étourdissante leçon de liberté et de fantaisie. Un exercice de haute voltige, adapté d’un beau roman de Christian Gailly (L’Incident, Editions de Minuit, 1996), mais qui n’a pas volé son nouveau titre : comme les herbes folles, le film semble avoir jailli par incongruité poétique au beau milieu d’un monde hostile, ensemencé par la grâce, poussé par l’esprit qui souffle où il veut. C’est d’ailleurs, du moins en apparence, une histoire d’amour insolite et légère, qui réunit un couple drôlement improbable.

Elle, c’est Marguerite Muir (Sabine Azéma), célibataire entre deux âges à la frimousse enfantine, tignasse rouge ébouriffée roulant en voiture décapotable jaune, collectionneuse de chaussures de marque, dentiste de profession et pilote de Spitfire. Une bourrasque de charme échappée d’un comic book. Lui, c’est Georges Palet (André Dussollier), sexagénaire à la retraite installé auprès d’une femme aimante dans un coquet mais décrépit pavillon de banlieue, attelé au bricolage domestique comme à un expédient thérapeutique, cachant de fait sous la routine à laquelle il s’astreint un lourd secret qui le profile comme un probable danger public. Le feu sous la cendre.

C’est un portefeuille qui va raviver ce feu. Il a atterri dans le parking souterrain d’une galerie commerciale, après que Marguerite se le fut fait voler en sortant d’une boutique. Il attendait pour ainsi dire Georges, qui tombe dessus en reprenant sa voiture. Tandis qu’il découvre les papiers d’identité, une curieuse idée s’impose à lui avec la force de l’évidence, qui se transformera en dangereuse obsession : rencontrer sa propriétaire, dont il semble déjà épris. De ce hasard changé en nécessité découle un fleuve de péripéties servies par une mécanique précise, enjouée, flirtant avec l’absurde, l’inquiétant et le merveilleux. Discrètement émancipée des règles du réalisme, sans pour autant verser dans le surréalisme abracadabrant, cette histoire invite le spectateur à s’engouffrer dans ses absences, à pénétrer ses mystères, à partager ses indécisions.

«Elle est crevée» C’est que la piste est sinueuse et que rien n’y avance comme on s’y attendrait. Un vaudeville mené par le démon de midi ? Mais non, puisque la femme de Georges (Anne Consigny) est invitée à y participer. Un polar mettant en scène un serial killer ? Pas davantage, Georges étant le plus pacifique et le plus romantique des hommes. Une allégorie des liens invisibles qui relient la vie réelle à la vie rêvée ? Peut-être, mais pas seulement. Alors quoi ? Plus sûrement un film-somme, un film-monde, caverne hétéroclite éclairée par une lumière souterraine, dans laquelle Alain Resnais fait entrer, outre son goût pour l’expérimentation, beaucoup de lui-même. La bande dessinée, le roman d’aventure, le film de guerre, les procédés du cinéma muet, les pionniers de l’aviation, la magie pourpre d’une séance nocturne dans une salle de quartier, la régénération amoureuse, pour ne rien dire de Sabine Azéma… Tout un imaginaire saturé d’authentiques réminiscences qui se met aux commandes, au nez et à la barbe de deux représentants de la loi dignes de Guignol (hilarants Mathieu Amalric et Michel Vuillermoz).

Cette puissante remontée de sève – c’est ce qui rend ce film si troublant – est discrètement mais intimement mêlée à l’ombre portée de la mort. Ses signes sont partout. Dans la voix du narrateur omniscient (Edouard Baer) qui nous raconte cette histoire avec le détachement de celui qui connaît la fin de toutes choses. Dans le nom de l’héroïne, qui renvoie à L’Aventure de Madame Muir (1947), chef-d’oeuvre de qui met en scène une jeune veuve amoureuse d’un revenant. Dans l’épuisement de la montre du héros («Elle est crevée, elle en peut plus, moi non plus»). Dans la logique spectrale qui conduit le film jusqu’à son accident final. Dans le secret de Georges Palet, qui ne sera jamais levé. Et pour cause, ajouterait-on volontiers, tant l’hypothèse de son absence au monde, rendue sensible par la grâce du cinéma, est tentante. C’est que la conquête de l’inconnue recouvre ici la familiarité avec l’Inconnu.

Il faut le dire avec infiniment de tact et de circonspection, mais ce film dont le génie consiste à avoir un pied dans l’enfance et un autre dans la tombe ressemble à un adieu d’une folle élégance, d’une bouleversante sérénité.

Les soirées de l’Alliance Andorrano – Française

Jeudi 22 Octobre 2009 à 21h 30

Théâtre Communal d’Andorre la Vieille

Cinéma « Joueuse » Un film de Caroline Bottaro avec Sandrine Bonnaire et Kevin Kline

Mardi 24 Novembre 2009 à 20h

Théâtre Communal d’Andorre la Vieille

Conférence En collaboration avec le « Govern d´Andorra » Ministère de la Culture & Editorial Andorra

« Conquérants des ondes » l´incroyable aventure de Radio-Toulouse et de Radio-Andorre par Sylvain Athiel.

Jeudi 17 Décembre 2009 à 21h30

Théâtre Communal d’Andorre la Vieille

Cinéma  » Le Petit NICOLAS » Réalisé par Laurent Tirard – Avec Maxime Godart, Valérie Lemercier, Kad Merad , etc..

« Joueuse » – jeudi 22 Octobre 2009 à 21h30

"Joueuse" Un film de Caroline Bottaro avec Sandrine Bonnaire et Kevin Kline

Un film de Caroline Bottaro avec Sandrine Bonnaire et Kevin Kline

  • Genre : Comédie dramatique
  • Durée : 1h37
  • Pays : France
  • Date de sortie : Août 2009

Dans un petit village de Corse, la vie d’Hélène, effacée et discrète, est faite de jours qui s’enchaînent et se ressemblent.

Elle travaille comme femme de chambre dans un hôtel et semble apparemment heureuse avec son mari, Ange, et sa fille de quinze ans, Lisa. Sa vie modeste et monotone paraît toute tracée.

Tout bascule le jour où, faisant le ménage d’une des chambres de l’hôtel, elle surprend, fascinée, un jeune couple d’américains très séduisants qui joue aux échecs sur une des terrasses.

Tout d’abord intriguée, puis finalement passionnée par ce jeu, Hélène mettra tout en oeuvre, avec obstination, pour maîtriser les règles des échecs jusqu’à l’excellence. Elle pourra compter sur l’aide de Monsieur Kröger, un mystérieux habitant du village, pour arriver à ses fins. Mais cette métamorphose positive vers une nouvelle liberté pour Hélène, ne se fera pas sans modifier profondément, ses relations avec sa famille, ses amis et les habitants du village.

Collaboration : Comu d’Andorre la Vieille – Grands Magasins PYRENEES – Ventes anticipées au Bureau National du Tourisme